Utopia

Qu’est-ce que la créativité ? Comment trouve-t-on l’inspiration ? Faut-il un cadre pour créer ? Est-ce une bonne chose de travailler dans l’urgence ? Nos invités pour répondre à ces questions :- Raphael Costambeys-Kempczynski : directeur délégué, coordination territoriale à l’Université Sorbonne Paris Cité, maître de conférence à Sorbonne Nouvelle, journaliste, Raphael est également directeur du festival des idées : festivaldesidees.paris- Alessandro Bolchi : directeur créatif exécutif chez Future Brand, après 20 ans d’activité dans la création de marques et dans la conception d'emballages, Alessandro assure désormais la stratégie d'image des clients de Futurebrand dans tous types de projets.- Arnold Turboust : auteur compositeur, interprète et producteur. Arnold a écrit et composé pour de nombreux artistes comme Etienne Daho, Jacno, ou encore Sylvie Vartan, il a également composé pour la télévision et pour le cinéma. Pour en savoir plus : www.arnoldturboust.net/Pour ouvrir la discussion (6:09), l'auteur

En France, nous passons en moyenne plus de 80 000 heures de notre vie à travailler, à fournir des efforts, combien de temps reste-t-il pour notre bien-être ? Peut-on trouver le bien-être dans son travail ? Dans l’effort en général, qu’il soit physique ou mental ? Le bien-être a-t-il sa place dans l’effort ? Jusqu’à quelle limite ? L’un peut-il aller sans l’autre ?Ce sont les questions auxquelles nous allons tenter de répondre dans cette nouvelle émission Utopia avec nos invités :- Danièle Linhart : auteure, sociologue du travail, directrice de recherche au CNRS, Danièle s'intéresse notamment aux évolutions du travail et de l’emploi.- Alexandre Jost : fondateur de la Fabrique Spinoza, association qui vise à redonner au bonheur sa place au cœur de notre société.- Arnaud Collery : chief happiness officer, coach, auteur, conférencier et organisateur d’événements.- Clara Duval : planneuse stratégique chez Future Brand.Pour ouvrir la discussion (6:20), l'auteur Marc Gibaja signe la fiction «Start-up boucherie

À l’heure où les experts s’accordent à dire que le monde s’effondre avec des prévisions catastrophistes à l’égard de l’avenir de la planète, peut-on voir le monde s’effondrer et croire encore en l’avenir ? Peut-on s'épanouir dans cette contradiction ? En quoi le monde s’effondre-t-il ? Comment anticiper cet effondrement ?Ce sont les questions auxquelles nous allons tenter de répondre dans cette nouvelle émission Utopia avec nos invités :- Hervé Kempf : fondateur et rédacteur en chef de Reporterre, le quotidien de l’écologie, auteur d’une douzaine de livres dont “Tout est prêt pour que tout empire. 12 leçons pour éviter la catastrophe”, aux éditions du Seuil- Manon Paga : planneuse stratégique chez Future Brand- Laurent Aillet, co-fondateur de l'association “Adrastia”. Pour ouvrir la discussion (2:15), l'auteur Marc Gibaja signe la fiction «Désespoir, espoir» , avec les voix de Jeanne Chartier et Loic Colin.Une émission présentée par Frédéric Haury.  See acast.com/privacy for privacy and opt-out

Alors dis-moi, qu’est-ce que tu veux faire plus tard ? » Cette phrase, on l’a tous déjà entendue quand on était petit.Trouver sa voie, sortir du rythme métro-boulot-dodo, s’engager, suivre ses valeurs et tenir le cap… Dans notre société contemporaine, l’individu ne cherche plus à savoir qui il est mais pourquoi il existe. Quel sens souhaite-t-il donner à son travail ? À ses relations ? À sa vie ?Mais de l’autre côté, il y a la distraction. Cette facilité à nous laisser happer, à nous permettre d’emprunter un autre chemin de traverse qui a l’air si beau, même si elle nous empêche de penser parfois. Comment concilier les deux ? Un roi sans divertissement et sans but n’est-il qu’un homme plein de misères ?Ce sont quelques questions qu’on se pose dans le dernier épisode d’Utopia : comment l’injonction de la quête de sens et notre dépendance à la distraction peuvent-elles trouver un terrain d’entente ?Pour en discuter avec nous, nous recevons :- Éric Metzger, écrivain également connu pour ses chroniques humoristiq

Ressembler à tout le monde ou a personne ? Telle est la question !A l’heure des réseaux sociaux marqués par le culte de l’image, la question de l’être et du paraître se pose de plus en plus. Sommes-nous condamnés à tous nous ressembler ou existent-ils des échappatoires pour notre individualité et notre originalité ?La mode est-elle là pour tous nous faire suivre les tendances, ou bien pour trouver une adéquation entre notre personnalité et notre image ? Et l’école, est-elle ici pour faire éclore en nous ce qui nous rend unique ou est-elle là pour nous préparer, quitte à nous uniformiser, selon les expectatives du monde qui nous attend ?Et les marques dans tout ça ? Comment se positionnent-elles, entre offres individualisées et catégorisations des consommateurs ?Ce sont là quelques questions qu’on se pose avec le dernier épisode d’Utopia : alors comment peut-on ressembler à tout le monde et à personne ?Pour en discuter avec nous, nous recevons :- Sophie Audoubert, professeure de Lettres Classiques en lycée, au

Vous avez déjà totalement planifié toutes vos vacances, des activités jusqu’à l’hôtel où vous allez séjourner en passant par les temps de trajet ? Vous ne pouvez pas faire vos courses sans scanner tous les aliments que vous prenez dans les rayons avant de les mettre dans votre panier ? Vous êtes un fan absolu du système de rangement développé par Marie Kondo ? Les Bullets Journal n’ont aucun secret pour vous ? Ne vous inquiétez pas, vous êtes simplement un « control freak », un maniaque du contrôle ! Et vous n’êtes pas le seul !Aujourd’hui, les nouvelles technologies, par l’hyper-connectivité qu’elles nous imposent, nous obligent de plus en plus à tout prévoir, à tout contrôler. Mais où est notre libre-arbitre dans tout ça ? Sommes-nous condamnés à ne plus nous laisser aller ? Et si on revendiquait notre liberté ? Spontanéité, j’écris ton nom !Pour en discuter, nous recevons :- Astrid Schilling, autrice, spécialisée dans le développement personnel et le feng shui.- Dominique Stoppa-Lyonnet, médecin généticien

Pour les prochaines vacances, vous rêvez de partir en retraite dans un monastère où le silence est roi ? Vous avez peut-être déjà configuré votre portable pour être alerté lorsque vous dépassez un temps d’écran « normal » ? Bref, vous commencez sérieusement à sentir le besoin de déconnecter de votre rythme de vie effréné et surconnecté pour éviter de devenir complètement dingue ? Et pourtant vous ne pouvez pas vous passer de votre smartphone, les réseaux sociaux sont vos outils quotidiens pour échanger avec le reste du monde et vous adorez par-dessus tout votre quartier, ses bars, ses restos et les dîners entre amis qui vont avec.Pas de panique ! Vous souffrez seulement du syndrôme to be or not to be connected (ou NOMO pour les plus techniques). Derrière cette question, l’enjeu n’est autre que de rester connecté à soi-même. Oui, mais comment ? Comment se déconnecter ? Combien de temps ? Faut-il partir à l’autre bout du monde ou simplement mettre son téléphone à l’autre bout de la pièce ?Pour en discuter,

 « Moi je », « Moi, je », « Moi, je » .L’individualisme a-t-il de beaux jours devant lui ?Le deuxième épisode du podcast Utopia s’intéresse à la relation parfois conflictuelle qui peut exister entre notre ego et notre rapport à l’autre. Dans une société où d’un côté tout me pousse à ne penser qu’à moi, mon style, mon bien-être, ma carrière et de l’autre où je ne peux me penser sans la relation à l’autre, aux autres, comment dépasser cette contradiction ?Celle-ci trouve une forte résonance dans l’usage que nous faisons d’internet et des réseaux sociaux. Si nous ne les avons pas attendus pour entretenir une relation complexe avec notre ego, les réseaux sociaux la nourrissent en glorifiant notre petite personne. En même temps, ces mêmes réseaux sociaux, en tant que fenêtre sur le monde permettent de relier les individus autour de prises de conscience de l’autre, de ce qui se passe ailleurs. Jusqu’à nous permettre une nouvelle forme d’engagement.Ce parallèle dans la dynamique entre ego et collectif, nous inv

1 milliard d’animaux sont abattus chaque année en France. Et pourtant, on les aime ! Peut-on vraiment continuer à manger de la viande quand on aime les animaux, avec tout ce que l’on sait aujourd’hui sur les conditions d’abattage ?Et comment, alors ? Dissocier l’élevage de la production, favoriser des chaînes courtes entre l’éleveur et le consommateur, « réanimaliser » la viande pour réveiller les consciences…Le premier épisode d'Utopia s'intéresse à la contradiction entre notre alimentation et notre rapport ambigu avec les animaux. Alors, peut-on aimer les animaux et les tuer en toute conscience ?Pour en débattre, nous recevons :- Jocelyne Porcher, autrice du Manifeste pour une mort digne des animaux- Pierre Pauchet, Association en Faveur de l'Abattage des Animaux dans la Dignité (AFAAD)- Melchior de Warren, fondateur Les Colis du Boucher- Benjamin Hoguet, auteur de Manger vers le Futur.- Clara Duval, Brand Strategist chez FutureBrand.Pour ouvrir la discussion, l'auteur Marc Gibaja nous interpelle sur ce que

Découvrez le teaser d'Utopia, le nouveau podcast produit par FutureBrand et Ground Control  See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.