Radio légumes & Cie

Le processus de biodégradation de la matière organique a différents impacts bénéfiques sur le sol et sur les plantes. La matière organique est en fait à la base d’un sol vivant et de plantes en santé et productives.

Un balado où l’on découvre comment les « mauvaises herbes » sont en fait des herbes spontanées qui peuvent être des alliées au jardin.

Souvent associée à des pratiques de jardinage, la permaculture est en fait un processus de conception et de design. Voici donc une analyse personnelle sur le concept de permaculture.

Bien cachée dans les exosquelettes des insectes et les carapaces de crustacés, la chitine est très utile dans le jardin comestible.

La plupart des jardiniers n’en ont pas conscience, mais la Nature offre de nombreux services gratuits. En en prenant connaissance, on peut mieux en bénéficier.

Avec les données colligées au cours des dernières années, la fermeture et la préparation du potager pour l’hiver en climat nordique ont évolué. Tant mieux, car c’est en fait moins d’opérations à effectuer.

Si la rhizosphère, le milieu de vie des microorganismes dans le sol est de mieux en mieux connue, la communauté qui abrite des microorganismes sur les parties hors-sol des plantes, la phyllosphère, livre de plus en plus ses secrets.

Connus depuis de nombreuses années des professionnels, 2 produits naturels viennent de faire leur entrée sur le marché pour les jardiniers. À la fois amendements, fertilisants et biostimulants ils favorisent surtout la vie du sol tout en apportant des éléments nutritifs.

Indigènes en Ontario, naturalisés au Québec, les topinambours sont faciles à cultiver. Leur grande agressivité leur a cependant fait une mauvaise réputation et bien des jardiniers hésitent à le planter.

Ce désordre physiologique fait couler beaucoup d’encre. Voici donc un état des lieux basé sur les plus récentes données scientifiques concernant cette pourriture apicale.

Il existe plusieurs types de pourriture qui attaquent les plantes. Ces deux-là sont les plus courantes.

L’une est toute petite et l’autre beaucoup plus grosse. Toutes les deux font des dégâts aux légumes-fruits et aux fruits. Avec en prime un petit éditorial sur les pissenlits (uniquement en audio)

Un bon geste écoresponsable consiste à ne pas utiliser de pesticides, voire de biopesticides. Plusieurs méthodes existent pour contrôler les insectes ravageurs et des maladies sans avoir besoin d’utiliser ces produits.

Plusieurs animaux sauvages peuvent devenir des nuisances dans un jardin potager. Les connaître permet de mettre en place les bonnes stratégies de contrôle.

Ces insectes ravageurs spécifiques attaquent principalement les plantes de la famille des alliacées. Heureusement, il existe des solutions pour les contrôler.

C’est avec beaucoup de bonheur que nous fêtons notre 100e émission. Pour l’occasion, nous accueillons deux invités : Mélanie Grégoire et Albert Mondor.

Plusieurs insectes et maladies affectent particulièrement les fruits des arbres et arbustes fruitiers. Portrait des plus communs.

Différente de la fertilisation des plantes potagères, celle des arbres et arbustes fruitiers doit respecter à la fois les besoins des plantes et leur âge.

Il existe des kiwis qui passent bien les hivers à l’extérieur en pays nordique. S’ils ont le même genre de végétation que les kiwis commerciaux, par contre les fruits sont beaucoup plus petits.

Bien qu’ils soient petits, ces insectes ravageurs peuvent faire d’importants dégâts. Sans compter qu’ils sont susceptibles d’infester une très grande variété de légumes et de fruits.