Littérature

durée : 00:19:47 - Lectures du soir - Diane Kolnikoff reçoit Pierre Pachet, écrivain et essayiste français. Il évoque les thématiques récurrentes dans l'oeuvre littéraire de Primo Levi à travers des extraits de La Trêve et de Si c’est un homme.

durée : 00:32:02 - Le Feuilleton - "Je me pinçai le visage : vivais-je encore ? Étais-je éveillé ? Je n’arrivais pas à le croire. Comment était-il possible qu’on brûlât des hommes, des enfants et que le monde se tût ? Non, tout cela ne pouvait être vrai."

durée : 00:20:16 - Lectures du soir - Diane Kolnikoff reçoit Jean Samuel, ami de Primo Levi, comme lui rescapé du camp d'extermination d'Auschwitz où il l’a connu. Jean Samuel évoque ses souvenirs avec l'écrivain sur l'organisation de la vie dans le camp puis lit des passages de Si c'est un homme.

durée : 00:32:02 - Le Feuilleton - La première impression que nous eûmes des Allemands fut des plus rassurantes. Les officiers furent installés chez des particuliers, et même chez des Juifs. Leur attitude envers leurs logeurs était distante mais polie

durée : 00:58:17 - Samedi fiction - par : Blandine Masson - Que se passe-t-il dans la tête de celles et ceux qui dansent, pendant les répétitions et pendant le spectacle ? Dans ce délicat « Chassé-croisé », l’autrice Marie Nimier nous fait partager leurs pensées, leurs rêves et leur histoire.

durée : 00:20:11 - Lectures du soir - En 1961, est passé commande à Roger Vailland d’une adaptation d’un roman de Nabovov, Chambre obscure. Le réalisateur pressenti est Roger Vadim mais le projet n’aboutira pas. On retrouve les thèmes chers à Vailland, la souveraineté, le plaisir, le jeu social, la modernité…

durée : 00:28:39 - Le Feuilleton - "La vie intérieure, c’est cela : c’est savoir que la paix n’est pas dans le monde mais dans le regard de paix que nous portons sur le monde. C’est savoir que la joie n’est jamais pour demain, mais pour aujourd’hui, ou alors elle ne sera pas."

durée : 00:20:09 - Lectures du soir - Réflexion, essai, exercice d’admiration, cet ouvrage est daté de 1956. Roger Vailland brosse le portrait de ce diplomate et homme d'Église du XVIIIe siècle, qui exerça de nombreuses fonctions politiques. Il fut aussi libertin et amateur de plaisirs et fit la rencontre de Casanova.

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Il était une chose que seule la terreur pouvait obtenir, c’était que des centaines d’hommes bouillonnant au fond de la baraque fissent silence. Seule la terreur… et la poésie. Si quelqu’un récitait un poème, tous se taisaient un à un. Un manteau d’humanité les recouvrait.

durée : 00:19:58 - Lectures du soir - Les Mauvais coups, roman publié en 1948, évoque la fin d’un amour passionnel dévorant, la fin d’une saison, La Fête, publié en 1960, est à l’inverse un roman sur l’amour souverain, le début d’une autre saison.

durée : 00:28:44 - Le Feuilleton - "Je ne sais pas s’il existe une bénédiction plus grande que la rencontre d’un vieillard véritable, c’est-à-dire joyeux. Quand un vieil homme est joyeux, il est si fort qu’il n’a même plus besoin de parler. Il vient et il guérit"

durée : 00:20:01 - Lectures du soir - "Celui qui se bat combat pour lui, tout de suite, pour lui présent à lui-même dans l’instant où il combat, parce que c’est la seule solution possible dans le présent pour lui s’il veut être heureux."

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Avant de devenir résistant, j’ai voulu apprendre à danser ! Il y avait en moi un tel convoi de forces en route vers des actes, qu’il fallait bien qu’il occupât tous les chemins à la fois pour pouvoir passer.

durée : 00:19:07 - Lectures du soir - Journaliste avant-guerre, résistant dans un réseau gaulliste dès 1942, coupé de son réseau dès la fin du printemps 1944, Roger Vailland en profite pour commencer à écrire Drôle de jeu qui reçoit le prix Interrallié en 1945.

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - Peu à peu, je compris qu’aimer c’était voir et que haïr, c’était cela la cécité, la nuit. Je sentais donc qu’il y avait deux mouvements. Ou bien refuser le monde et c’était l’obscurité, c’étaient les chocs, ou bien l’accepter : c’étaient la lumière et la force

durée : 01:58:10 - Fictions / Théâtre et Cie - "J’ai demandé à Dieu et Dieu m’a dit : prends Bernstein." C’est avec ces mots qu’en 1943 Artur Rodzinski choisit comme assistant à la tête de l’Orchestre Philharmonique de New-York un jeune homme de 25 ans, pianiste, compositeur confidentiel, chef d’orchestre encore inconnu.

durée : 00:57:45 - L'Atelier fiction - Au cœur de Belleville, les relations troubles et intimes entre prostituées chinoises, policiers et riverains.

durée : 00:19:51 - Lectures du soir - Jacques travaille tant et si bien qu’il reçoit un prix au lycée. Ce succès est une source de fierté pour sa mère, qui voit dans cette récompense le fruit de ses sacrifices. Il symbolise aussi l'espoir d'un avenir différent, loin des contraintes familiales.

durée : 00:28:47 - Le Feuilleton - "C’est un voyage à l’aventure, un voyage pour le voyage ou, plus exactement, pour le plaisir du voyage. C’est un véritable voyage, qui n’a d’autre but que de satisfaire à son éternel objectif: se trouver soi-même."

durée : 00:20:06 - Lectures du soir - À son arrivée au lycée, Jacques ressent à la fois de l'excitation et de l'appréhension, confronté à un milieu plus raffiné et cultivé, il se sent décalé. Mais son intense soif de savoir lui donne la force nécessaire pour s’intégrer.